La fessée par amour pour Chloé

Catégories : Humour, FESSESTORY sexe, BDSM,libertin, ABDL, fessée Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme
il y a 6 ans

C’est vrai que je ne m’étais pas trop foulé, mais quand je vois que dans ma classe il y avait des super glandeurs qui l’ont eu quand même, je suis trop dégoûté. Toujours est-il que je me retrouve à repiquer ma terminale. Mais le pire, c’est qu’au lieu d’être à la fac à Toulouse et d’avoir mon studio en ville comme c’était prévu, je me retrouve dans ce bled pourri à vivre encore chez mes parents. À 19 ans !

Ce n’est pas que je ne m’entende pas avec eux, ils sont plutôt sympas, quoique, comme je suis fils unique, ils ont tendance à me coller un peu. En plus, mon échec au bac les a douchés et cette année, ils sont encore plus sur mon dos. Le plus embêtant dans cette histoire, c’est pour Chloé. Chloé, c’est ma copine. Elle est en Terminale S dans un autre lycée et elle aussi elle vit chez ses parents.

Elle, c’est une excellente élève, mais ses parents ne sont pas vraiment dans le vent. Quand je vais la voir chez elle, je peux monter dans sa chambre, mais on doit laisser la porte ouverte, vous voyez le genre. Bref, c’est pas très cool. Or la semaine dernière, Chloé me dit que ses parents vont s’absenter deux jours et qu’elle sera seule chez elle le vendredi soir. Là, ça fait tilt. Je me dis que c’est l’occasion rêvée.

Je raconte donc à mes parents que je suis invité chez mon pote Sébastien, qu’on va réviser à fond la caisse pour le DS du lendemain et que par conséquent je vais dormir chez lui. Et, bien sûr, vendredi soir je vais chez Chloé. Là on passe une super soirée et on peut enfin dormir ensemble, qui plus est dans le lit de ses parents ! Le lendemain midi, après le DS, je rentre à la maison comme si de rien n’était. Mes parents étaient tous les deux assis dans le salon et ma mère me demande : « Alors, Manu, ça c’est bien passé ce DS ? ». « Oui, pas trop mal », que je lui réponds. « Et hier soir, avec Sébastien, vous avez bien bossé ? » « Oui, on a révisé tout le programme d’histoire-géo ». « Et qu’est-ce que vous avez mangé ? »

Je lui réponds que la mère de Sébastien nous a fait des nouilles au gratin avec du saumon. « Et comme dessert ? ». Là je commence à m’inquiéter de toutes ces questions. « Euh, c’était de la tarte ». « Et elle était bonne la tarte ? ». « Oui, très bonne », que je lui réponds. « Et celle-là, elle est bonne ? » Et là-dessus, ma mère me met une claque. Je me frotte la joue, interloqué. C’est la première fois de ma vie que ma mère me donne une gifle. « Tu es un sale petit menteur », me dit-elle, « hier soir j’ai téléphoné chez les parents de Sébastien pour te demander de passer à la pharmacie ce matin en rentrant du lycée. Ils ont été très étonnés d’apprendre que tu étais en train de dîner avec eux et que tu allais y passer la nuit». Catastrophe !

J’ai l’air malin ! Je ne sais pas quoi dire, je regarde mes chaussures. « On peut savoir où tu étais ? ». Mis au pied du mur, je n’ai plus qu’à raconter ma vraie soirée avec Chloé, d’autant plus que ma mère insiste pour avoir des détails. Après quoi, c’est mon père qui prend la parole : « Manu, ce que tu as fait est inadmissible. Le problème, ce n’est pas que tu aies envie de coucher avec ta petite amie. C’est de ton âge et je peux le comprendre. Mais ce qui est intolérable, c’est que tu nous mentes, c’est que tu nous trompes, c’est que tu te moques de nous. Désormais, nous savons que nous ne pouvons te faire aucune confiance. Par conséquent Maman et moi avons pris une décision. Tu seras privé de sorties jusqu’au bac.

Tu ne quitteras la maison que pour aller au lycée et sitôt les cours finis tu y rentreras immédiatement ». Là, je suis blême. Plus de sorties pendant trois mois, ça veut dire que je ne vais plus voir Chloé. Je supplie mes parents : « Vous ne pourriez-pas choisir une autre punition, n’importe laquelle, mais pas ça ? ». « Qu’est-ce que tu proposes ? », me demande ma mère.

Je me creuse la tête, mais, en effet, je ne vois pas bien ce que je pourrais proposer. « Il y aurait bien une solution, dit-elle, ce serait qu’on t’administre une bonne fessée ». Une fessée ? Je n’en crois pas mes oreilles. Jamais je n’ai reçu de fessée, même petit, et maintenant que j’ai dix-neuf ans, que j’ai mon permis de conduire et le droit de vote, je serais fessé comme un gamin ?

Je me demande si ça fait très mal. De toute façon, personne n’en est mort. Et puis, même si cela fait très mal, cela ne dure pas très longtemps, en tout cas beaucoup moins longtemps que trois mois sans revoir Chloé. Je fais donc signe que j’accepte. « Puisque cela remplace 90 jours de privation de sorties, ce seront 90 claques sur tes fesses nues », dit ma mère. 90 ! Le nombre me paraît énorme. « Naturellement, c’est ton père qui va te fesser », poursuit-elle et elle me fait signe de me diriger vers lui. Je lui obéis et m’approche de mon père. Il déboutonne mon jean et le fait descendre jusqu’au bas de mes cuisses. Puis il me baisse mon slip .

Je me retrouve le zizi et les fesses à l’air devant mes parents. Ce n’est pas que je sois particulièrement pudique, mais là, ça me fait tout drôle. Je me sens infantilisé et vulnérable. Mon père me couche en travers de ses cuisses. Je m’accroche tant bien que mal à sa jambe et mes pieds battent l’air. Je me sens ridicule. La première claque s’abat sur mon derrière, fulgurante. C’est surprenant mais pas trop douloureux. Je vais vite déchanter. Quatre ou cinq claques plus tard, la douleur est cuisante, encore deux ou trois de plus et cela devient franchement insupportable. Je me raidis, je frétille, je gigote, mais les claques s’abattent de plus en plus implacables. Instinctivement, je mets ma main droite sur mes fesses pour les protéger.

Mon père s’interrompt et dit à ma mère : « Tiens-lui les mains ». Aussitôt, Maman entoure mes poignets de ses doigts et les immobilise. Papa a le champ libre et il me fesse à toute volée, avec une vigueur renouvelée, comme pour me punir d’avoir cherché à échapper au châtiment. J’ai beau serrer les dents, la douleur est trop vive, je ne peux retenir des plaintes et des gémissements. Mon père s’arrête. « Tu n’as pas bientôt fini ? Tu vas arrêter de chouiner comme une gamine et recevoir ta correction avec un peu de dignité ? ».

La dignité ? Pas très facile d’être digne quand on est dans cette tenue et dans cette position, mais je me le tiens pour dit. Je ravale mes larmes et j’offre mon postérieur à la correction paternelle. Celle-ci reprend de plus belle. Je sens le regard de ma mère sur mes fesses qui doivent être écarlates. Là, c’est la honte qui l’emporte sur la douleur. Je compte intérieurement les claques. Mon père aussi, manifestement, car il s’arrête à 90 pile. Je suis pantelant, le cul en feu. Je n’ai pas la force de me relever.

C’est mon père qui me relève et me remet sur pieds. « Tu n’as rien à dire à Papa », me demande Maman. « Si, réponds-je, pardon pour mon mensonge et merci pour cette fessée bien méritée ». Mon père me prend alors dans ses bras et m’étreint affectueusement. Maman s’approche à son tour, m’aide à me reculotter et m’embrasse : « allons, mon grand, c’est fini. On n’en parle plus. J’espère que cela t’aura servi de leçon ». Moi, je suis soulagé. Dès demain, je vais pouvoir revoir Chloé .Evidemment, je ne lui dirai rien de ce qui s’est passé, j’aurais trop honte. Et elle ne saura jamais que j’ai reçu la première fessée de ma vie par amour pour elle.

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement